Salut à tous ! Richard Blanc par ici. Vous savez, quand Xiaomi m’a envoyé le 15T Pro en juin dernier, j’étais à la fois excité et sceptique. Excité parce que j’adore tester les nouveautés tech, sceptique parce que… eh bien, Xiaomi a parfois ce côté « trop beau pour être vrai » qui me rend méfiant. Quatre mois plus tard, après l’avoir trimbalé partout – du marché du dimanche à mes vacances en Provence, en passant par mes séances photo nocturnes sur les quais – je peux enfin vous livrer mon verdict honnête. Et croyez-moi, ce smartphone m’a réservé autant de belles surprises que de petites déceptions instructives.
Mon premier contact avec le Xiaomi 15T Pro : impressions à chaud
Le déballage, c’est toujours un moment magique, non ? J’ai ouvert la boîte un mardi soir, après une longue journée de tests. La première chose qui m’a frappé : ce poids. 209 grammes, ça se sent immédiatement dans la main. Ce n’est pas désagréable, au contraire – ça donne cette sensation de robustesse, comme quand vous tenez un bon appareil photo reflex. La finition en verre mat à l’arrière est sublime. J’ai opté pour la version gris titanium, et franchement, elle attire tous les regards.
L’écran AMOLED de 6,73 pouces s’est allumé avec une luminosité qui m’a fait plisser les yeux. 4000 nits en pic, c’est du sérieux. Je me souviens avoir pensé : « Okay Xiaomi, tu as mon attention. » Mais bon, j’ai testé suffisamment de smartphones ces dix dernières années pour savoir qu’un bel écran ne fait pas tout. Alors j’ai retroussé mes manches et commencé mes tests méthodiques.
Les performances au quotidien : là où le Xiaomi 15T Pro brille vraiment
Une puissance brute impressionnante
Le cœur de ce smartphone, c’est le processeur Dimensity 9300+ de MediaTek. Et là, je dois l’avouer, j’étais un peu dubitatif au début. On nous a tellement vendu du Snapdragon ces dernières années que j’avais mes réserves. Quelle erreur de ma part ! Ce processeur est une vraie bête de course.
J’ai lancé Genshin Impact en paramètres ultra – mon test torture habituel – et le 15T Pro n’a pas bronché. Après 45 minutes de jeu intensif, la température est montée à environ 41°C, ce qui reste parfaitement acceptable selon les études thermiques des smartphones gaming. Pour vous donner un ordre d’idée, mon ancien flagship atteignait facilement 45°C dans les mêmes conditions.
La mémoire RAM de 12 Go (version de base) permet un vrai multitâche fluide. Je passe constamment de mon appareil photo à Chrome, puis à Lightroom, avec Spotify en arrière-plan. Zéro ralentissement. C’est exactement ce que j’attends d’un smartphone à ce niveau de prix.

L’autonomie : enfin un flagship qui tient la route
Parlons franchement : l’autonomie, c’est mon cheval de bataille. Combien de fois ai-je été déçu par des smartphones surpuissants qui s’éteignent à 18h ? Trop souvent. Avec sa batterie de 5000 mAh, le Xiaomi 15T Pro change la donne.
Ma routine quotidienne type : réveil à 7h, consultation des emails et réseaux sociaux pendant le café, 2 heures de musique en streaming dans les transports, une vingtaine de photos, navigation GPS 30 minutes, une heure de vidéo YouTube le midi, et encore emails et réseaux en soirée. Résultat ? J’arrive systématiquement à 22h avec encore 25-30% de batterie. C’est solide.
La charge rapide 90W est spectaculaire. Branchez le 15T Pro à 8% un matin où vous êtes pressé, et 20 minutes plus tard vous repartez avec 70%. J’ai chronométré : charge complète en 38 minutes. Par contre – et c’est mon premier point négatif – pas de charge sans fil. En 2025, pour un smartphone de ce standing, c’est franchement dommage.
L’appareil photo : ma plus belle surprise (et quelques frustrations)
Des performances photo qui rivalisent avec le haut de gamme
Bon, confession : je suis un peu maniaque sur la photo. Ancien photographe amateur qui a dépensé des fortunes en optiques Canon, j’ai des attentes élevées. Le module principal de 200 MP du 15T Pro m’a bluffé. Attention, ne vous méprenez pas : 200 MP ne veut pas dire que vos photos feront 200 MP (elles sont en réalité combinées en 12,5 MP par pixel binning pour plus de lumière et de détails).
J’ai fait des tests comparatifs avec l’iPhone 15 Pro Max d’un collègue lors d’une balade nocturne sur les bords de Seine. Les clichés du Xiaomi montraient un équilibre impressionnant entre netteté et gestion du bruit numérique. Les couleurs restent naturelles, sans cette sur-saturation artificielle qu’on reproche parfois à la marque. Le mode nuit est particulièrement convaincant grâce à une ouverture f/1.65 qui capture énormément de lumière.
L’ultra grand-angle de 50 MP est également très bon, même si j’ai noté une légère distorsion sur les bords en architecture. Rien de rédhibitoire, mais disons que mes photos de cathédrales nécessitent un léger recadrage en post-production.
La vidéo : du potentiel gâché par des limites logicielles
C’est là que mon enthousiasme retombe un peu. Le 15T Pro filme en 8K à 30 fps, ce qui sur le papier est fantastique. En pratique ? C’est utilisable, mais la stabilisation optique (OIS) peine un peu en 8K. Je recommande plutôt le 4K 60 fps qui offre un bien meilleur compromis entre qualité et stabilité.
Le mode cinématographique est sympa pour des petites vidéos créatives, mais il manque de raffinement. L’effet bokeh semble parfois appliqué au hasard, coupant des mèches de cheveux ou floutant des éléments de premier plan. Xiaomi a du travail à faire via des mises à jour logicielles.
Le téléobjectif : l’absent qui se fait remarquer
Et voilà mon regret majeur : pas de téléobjectif optique dédié. Le zoom 2x utilise un crop du capteur principal, ce qui donne des résultats corrects en bonne lumière, mais au-delà (3x, 5x, 10x), on bascule en zoom numérique. Pour un smartphone qui se positionne sur le segment premium à 799€, c’est une économie qui se ressent. Si vous aimez photographier des animaux sauvages ou faire du street photography discret, ce sera votre principale limitation.
L’écran : une vitrine exceptionnelle pour vos contenus
Revenons sur cet écran, parce qu’il mérite vraiment qu’on s’y attarde. Ce panneau AMOLED de 6,73 pouces avec une définition de 1,5K (2712 x 1220 pixels) est tout simplement magnifique. La densité de 446 ppi garantit une netteté parfaite, même si vous collez votre nez dessus (oui, je l’ai fait pour vous).
Le taux de rafraîchissement adaptatif jusqu’à 144 Hz rend l’interface d’une fluidité surnaturelle. Scroller sur Instagram devient presque hypnotique. Les gamers apprécieront particulièrement cette réactivité dans les jeux compétitifs. Selon des recherches en ergonomie des interfaces, un taux de rafraîchissement élevé réduit significativement la fatigue oculaire lors d’utilisation prolongée.
La luminosité maximale de 4000 nits est utile dans des situations extrêmes. Lors de mes vacances en Provence cet été, sous un soleil de plomb, l’écran restait parfaitement lisible. Un vrai plus pour consulter un GPS ou prendre des photos en plein jour.
Petit bémol : les bordures ne sont pas parfaitement symétriques. Le menton inférieur est légèrement plus épais que les autres côtés. Ce n’est pas gênant au quotidien, mais mon œil perfectionniste le remarque à chaque fois que je regarde une vidéo en plein écran.
HyperOS : une interface mature mais encore perfectible
Xiaomi a abandonné MIUI au profit de HyperOS. Honnêtement ? C’est un pas dans la bonne direction. L’interface est plus épurée, moins encombrée de bloatwares qu’avant. J’ai apprécié pouvoir désinstaller facilement les applications préinstallées dont je n’avais pas besoin.
Les animations sont fluides et bien pensées. Le multitâche en fenêtres flottantes fonctionne remarquablement bien sur ce grand écran. Par contre, j’ai rencontré quelques bugs mineurs : des notifications qui n’apparaissent pas toujours à temps, ou encore l’application appareil photo qui mettait 2-3 secondes à se lancer (corrigé depuis une mise à jour de septembre).
La promesse de 4 ans de mises à jour Android et 5 ans de patches de sécurité est rassurante. Xiaomi rattrape enfin son retard sur Samsung et Google à ce niveau. C’était temps.
La connectivité et le son : des performances solides
La compatibilité 5G fonctionne parfaitement, même si mon forfait ne me permet pas vraiment d’en profiter pleinement. Le WiFi 7 est ultra-rapide, j’atteins facilement 800 Mbps en téléchargement chez moi (avec une box compatible évidemment).
Les haut-parleurs stéréo sont puissants et bien équilibrés. Regarder des séries Netflix sans casque reste agréable. La spatialisation Dolby Atmos fonctionne bien avec du contenu compatible. Pas au niveau d’un vrai système audio évidemment, mais très correct pour un smartphone.
Point négatif : pas de prise jack 3,5 mm. Je sais, on ne devrait plus s’en plaindre en 2025, mais j’ai encore mes vieux écouteurs Audio-Technica que j’adore. Un adaptateur USB-C résout le problème, mais c’est un accessoire de plus à ne pas oublier.
Le design et l’ergonomie : élégant mais imposant
Ce Xiaomi 15T Pro est objectivement un beau smartphone. La certification IP68 contre l’eau et la poussière est rassurante – j’ai même pris des photos sous une averse lors d’un match de foot de mon neveu, sans problème.
Le module photo à l’arrière est proéminent. Très proéminent. Posé à plat sur une table, le smartphone bascule légèrement quand on tape. Rien de dramatique, mais ça mérite d’être mentionné. Une coque de protection est quasi obligatoire, ce qui augmente encore le volume et le poids.
Les boutons physiques sont bien positionnés et clicky. Le lecteur d’empreintes sous l’écran est rapide et fiable (déverrouillage en 0,3 seconde selon mes tests), même avec les doigts légèrement humides. La reconnaissance faciale 2D fonctionne bien en complément, sauf dans le noir complet évidemment.
Par contre, la taille de l’appareil pose question pour certaines utilisations à une main. Avec mes mains moyennes, impossible d’atteindre le coin supérieur gauche sans ajuster ma prise. Si vous avez de petites mains ou préférez les formats compacts, ce 15T Pro risque de vous fatiguer.
Le stockage : généreux mais non extensible
256 Go en version de base, c’est confortable. J’ai installé une trentaine d’applications, enregistré environ 2000 photos et vidéos, téléchargé quelques playlists Spotify hors ligne, et il me reste encore 140 Go. Largement suffisant pour la plupart des utilisateurs.
Version 512 Go disponible pour ceux qui stockent beaucoup de contenus 4K ou 8K. Par contre, pas de slot microSD. C’était attendu sur un flagship moderne, mais ça limite l’évolutivité à long terme.
Comparaison avec la concurrence : où se positionne réellement le 15T Pro ?
À 799€ (prix de lancement), le Xiaomi 15T Pro joue dans la cour des « flagship killers ». Face au Samsung Galaxy S24 à 900€, il offre un meilleur rapport performance/prix sur le papier. L’écran est légèrement meilleur, la batterie plus endurante. Samsung garde l’avantage sur la qualité photo en conditions difficiles et sur le suivi logiciel plus réactif.
Comparé au OnePlus 12, c’est plus serré. Le OnePlus propose également un Snapdragon 8 Gen 3, une charge sans fil et un téléobjectif périscopique. Ces avantages justifient ses 50€ supplémentaires pour certains utilisateurs exigeants.
Face aux iPhone 15 Pro, on parle d’un écosystème différent. L’iPhone reste plus cher (1159€), mais offre cet écosystème Apple fermé et cette optimisation logicielle inégalée. Si vous êtes déjà dans l’univers Apple avec un Mac et une Apple Watch, l’iPhone reste le choix logique malgré son surcoût.
Le 15T Pro se distingue vraiment par son excellent équilibre général à un prix contenu. Il n’est le meilleur sur aucun critère spécifique, mais très bon sur presque tous.
Les petits détails qui font la différence au quotidien
Après quatre mois d’utilisation, ce sont souvent les petits trucs qu’on remarque :
Les bons points :
- La vibration haptique est précise et agréable, donnant un vrai feedback lors de la frappe
- Le Always-On Display est personnalisable et très peu énergivore
- La fonction screenshot par glissement à trois doigts fonctionne parfaitement (je l’utilise quotidiennement)
- Le mode jeu avec ses optimisations réseau et ses notifications suspendues est vraiment bien pensé
- La synchronisation avec mon écosystème Xiaomi (montre Mi Band 8, écouteurs Redmi Buds 5) est transparente
Les points d’amélioration :
- Le vibreur lors des appels est un peu trop fort à mon goût, même au minimum
- Les gestes de navigation demandent un temps d’adaptation si vous venez d’un autre Android
- L’application de galerie photo propose trop de fonctionnalités AI gadgets qui encombrent l’interface
- Le capteur de luminosité automatique est parfois trop réactif, changeant la luminosité sans raison apparente
Mon bilan honnête après 4 mois : pour qui est fait ce smartphone ?
Soyons clairs : le Xiaomi 15T Pro n’est pas parfait. Aucun smartphone ne l’est. Mais après ces quatre mois de test intensif dans des conditions réelles, je peux affirmer qu’il coche la majorité des cases pour un utilisateur exigeant.
Vous allez adorer ce smartphone si :
- Vous cherchez des performances brutes au meilleur prix
- Vous passez beaucoup de temps sur votre écran (streaming, gaming, lecture)
- L’autonomie est votre priorité absolue
- Vous aimez la photo mais n’êtes pas un puriste du téléobjectif
- Vous voulez un grand écran immersif
Passez votre chemin si :
- Vous avez de petites mains et privilégiez la compacité
- Le téléobjectif optique est non-négociable pour vous
- La charge sans fil est indispensable à votre usage
- Vous êtes très attaché à l’écosystème Apple ou Samsung
- Vous voulez absolument le meilleur en vidéo professionnelle
Pour moi, après avoir testé plus d’une centaine de smartphones ces dix dernières années, le Xiaomi 15T Pro mérite sincèrement sa place dans le top 5 des meilleurs rapports qualité-prix de 2025. Il n’atteint pas l’excellence absolue du Galaxy S24 Ultra ou de l’iPhone 15 Pro Max, mais il propose 85-90% de leurs performances à 60-70% de leur prix. Et ça, c’est exactement la définition d’un flagship killer réussi.
Xiaomi a mûri. Ce 15T Pro démontre une vraie montée en gamme, avec moins de compromis qu’avant. La marque chinoise n’est plus seulement le choix « bon marché » – elle devient une alternative crédible et assumée face aux géants établis.
Foire aux questions sur le Xiaomi 15T Pro
Le Xiaomi 15T Pro est-il compatible avec tous les opérateurs français ?
Oui, absolument. Le 15T Pro prend en charge toutes les bandes 4G et 5G utilisées en France (Orange, SFR, Bouygues, Free). J’ai personnellement testé avec une SIM Free et n’ai rencontré aucun problème de compatibilité réseau, même dans des zones rurales où la couverture est capricieuse. La double SIM fonctionne également parfaitement si vous avez besoin de jongler entre un numéro personnel et professionnel.
Quelle est la durabilité réelle du Xiaomi 15T Pro face aux chocs ?
Avec son verre Gorilla Glass Victus 2 à l’avant et à l’arrière, le 15T Pro résiste bien aux rayures quotidiennes. J’ai malheureusement fait tomber le mien d’environ un mètre sur du carrelage (sans coque, moment de stupidité). Résultat : juste une micro-rayure sur le cadre en aluminium, l’écran est intact. La certification IP68 signifie qu’il survit à 30 minutes sous 1,5 mètre d’eau, mais je ne recommande évidemment pas de tester volontairement. Une coque de protection reste fortement conseillée pour préserver sa belle finition.
L’appareil photo du Xiaomi 15T Pro vaut-il vraiment son capteur 200 MP ?
C’est une question piège ! Le capteur 200 MP utilise le pixel binning, combinant les pixels pour produire des photos de 12,5 ou 50 MP selon le mode. En pratique, cela donne des photos détaillées avec une excellente gestion de la lumière. C’est excellent pour du contenu réseaux sociaux et des tirages jusqu’à 30×40 cm. Par contre, si vous espérez imprimer des posters géants avec 200 MP de détails natifs, ce n’est pas exactement comme ça que ça fonctionne. La qualité est vraiment bonne, mais l’argument des 200 MP est plus marketing que véritablement révolutionnaire.
Combien de temps faut-il pour charger complètement le Xiaomi 15T Pro ?
Avec le chargeur 90W fourni dans la boîte (merci Xiaomi de ne pas suivre l’exemple d’Apple), comptez environ 38 minutes pour une charge de 0 à 100%. En 15 minutes, vous récupérez facilement 50%, ce qui sauve la mise quand vous êtes pressé le matin. J’ai chronométré ces durées à plusieurs reprises et elles sont constantes. Par contre, si vous utilisez un chargeur tiers moins puissant, les temps s’allongent proportionnellement. Attention aussi : la charge rapide génère un peu de chaleur, c’est normal selon les études sur les batteries lithium-ion.
Le Xiaomi 15T Pro chauffe-t-il beaucoup lors d’une utilisation intensive ?
Honnêtement ? Un peu, mais rien d’alarmant. Lors de mes sessions gaming de 45 minutes en graphismes ultra, j’ai mesuré environ 41°C sur la partie supérieure arrière du téléphone. C’est tiède au toucher mais pas inconfortable. Le système de refroidissement à chambre à vapeur fait son travail. En utilisation normale (navigation web, réseaux sociaux, photos), le téléphone reste à température ambiante. Par contre, filmer en 8K pendant plus de 10 minutes fait vraiment monter la température et l’appareil vous avertit. C’est géré intelligemment par le processeur qui limite ses performances pour éviter la surchauffe.
Peut-on vraiment compter sur les mises à jour Xiaomi sur la durée ?
C’est LA question légitime avec Xiaomi, qui a longtemps eu une réputation mitigée sur ce point. Pour le 15T Pro, la marque promet 4 générations d’Android (donc jusqu’à Android 19 si on part d’Android 15) et 5 ans de patchs de sécurité. Depuis que je teste le téléphone (juin 2025), j’ai reçu trois mises à jour de sécurité mensuelles pile à l’heure, ce qui est encourageant. HyperOS semble mieux suivi que MIUI ne l’était. Reste à voir sur le long terme, mais les signes sont positifs. C’est encore loin de la régularité d’un Pixel, mais Xiaomi progresse clairement.
Le Xiaomi 15T Pro vaut-il le coup face à un Samsung Galaxy S24 ?
Ah, la question à 100€ (littéralement, c’est l’écart de prix) ! Le Galaxy S24 a pour lui : un meilleur suivi logiciel garanti, un écosystème plus mature avec DeX, et une qualité photo/vidéo légèrement supérieure dans les situations complexes. Le 15T Pro contre-attaque avec : une meilleure autonomie, un écran plus grand et lumineux, de meilleures performances gaming, et bien sûr son prix inférieur. Si vous êtes déjà dans l’écosystème Samsung (Galaxy Watch, Galaxy Buds, etc.), restez-y. Si vous cherchez le meilleur rapport performance/prix sans attache à une marque, le Xiaomi est objectivement plus intéressant. J’aurais personnellement du mal à dépenser 100€ de plus pour le S24 sachant ce que propose le 15T Pro.
Verdict final de Richard Blanc : 8,5/10 – Un flagship killer qui assume son positionnement avec de vraies qualités et quelques compromis assumés. Recommandé sans hésitation pour les utilisateurs avertis qui cherchent le meilleur rapport qualité-prix sans tomber dans l’extrême budget. Xiaomi prouve une fois de plus qu’elle maîtrise l’art du « presque parfait à prix contenu ». Mon prochain smartphone ? Il y a de fortes chances que ce soit un Xiaomi.

